27 Mai 2009
Mercredi, le député Yves Aimé Randrianarison a répété et insisté devant les manifestants partisans de la légalité réunis au MagroAnkorondrano que les conditions préalables pour la poursuite de la discussion consensuelle dirigée par le groupe International de Contactsont inchangés.
Ils exigent toujours le retour du PrésidentRavalomanana et la libération des légalistes emprisonnés. Uneexplication qu’il devait donner face à aux interrogations des légalistes sur le « pourquoi les légalistes continuent encore àassister aux rencontres organisées par le GIC ».
C’est pour insister sur ces conditions a déclaré le député Mémé qui veut faire taire les rumeurs qui courent sur la découverte d’un consensus entre les quatre délégations qui participent aux rencontres. D’après les informations des derniers jours en effet, un accord aurait été trouvé et consignédans la charte que propose le GIC.
Cet accord porterait notamment surle partage des sièges au niveau d’un gouvernement de transition quiserait dirigé par la HAT actuelle. Le député Mémé a déclaré qu’ils n’ont pas encore abordé la question desiège ou quoi que ce soit d’autre que les préalables qu’ils posent quiest le retour de Ravalomanana. Un retour auquel Andry Rajoelina répond niet.
Selon ce dernier, il n’est nullement question que le Président revienne. Pour lui il n’y aque la HAT. Les rencontres prévues mercredi n’ont pas pu se tenir, les représentants de la mouvance Ravalomanana et de la mouvance Ratsiraka n’étaient pas venus. Les rencontres vont reprendre jeudi, pourOuedragao « il n’y a pas de catastrophe dans la demeure »
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